6/10/2022

Groupe BNP Paribas

Le groupe BNP Paribas a décidé le 29/10/2019 de boycotter la chaîne d’infos CNEWS en cédant au chantage des Sleeping Giants. Revenir sur cette décision c’est, pour BNP Paribas, montrer à ses clients que la liberté d’expression et le respect de la diversité des opinions passent avant les injonctions d’un groupuscule anonyme qui sévit sur Twitter.

Publier un tweet

Proposition 1

En écoutant les SG et en boycottant @CNews, @BNPParibas/@Hellobank_fr/@cetelemfrance vous vous êtes mis dans le rouge. Mais il n’est pas trop tard pour faire machine arrière. Revenir sur la chaîne, c'est montrer votre respect pour la liberté d’expression.

#BNPParibasCNEWS

Proposition 2

Pubez de nouveau sur CNEWS @BNPParibas/@Hellobank_fr/@cetelemfrance, ne faites pas les mêmes raccourcis grotesques que les Sleeping Giants qui rêvent de voir disparaître 150 journalistes, 30 émissions et 200k téléspectateurs.

#BNPParibasCNEWS

Proposition 3

La Banque d’un monde qui ne change que si les Sleeping Giants sont d’accord @BNPParibas/@Hellobank_fr/@cetelemfrance ? En retirant vos publicités de @CNEWS, vous avez choisi la censure contre vos propres intérêts : n’écoutez plus le chantage des SG.

#BNPParibasCNEWS

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Choisissez un visuel et publiez le automatiquement sur Twitter.

Argumentaires de bataille

Les Sleeping Giants veulent ruiner les médias qui leur déplaisent (CNews, Valeurs Actuelles) en faisant pression via Twitter sur les entreprises pour qu’elles retirent leurs pubs de ces médias. Rejoindre les Corsaires de France, c’est recevoir sur son mail ou son téléphone le moyen de poster automatiquement un tweet afin de dissuader la marque attaquée de boycotter un média et ainsi s’opposer massivement aux opérations de censure des Sleeping Giants.

Participer à l’opération riposte au côté des Corsaires, c’est permettre à une marque ayant déjà abdiqué face aux Sleeping Giants de changer d’avis. Pour qu’elle recommence à placer ses publicités sur les médias victimes des Sleeping Giants, tweetez, likez et partagez nos posts, seul moyen de préserver la liberté de la presse.